La qualité de vie française est une marque de fabrique. Elle est même notre avantage comparatif par rapport à d’autres régions ou contrées. Il nous revient les uns et les autres de la préserver, d’y travailler. Les associations notamment ont beaucoup œuvré à la qualité de vie. Faisons attention sous couvert de simplification, qu’elles n’en soient pas les premières victimes. Il nous faut réfléchir aux services collectifs demain. Ils ne sont pas que publics, ils sont aussi associatifs voire privés. C’est l’une des pistes qui doit être creusée au premier chef par les départements : leur compétence sociale d’aujourd’hui doit s’élargir à une compétence sociétale demain, car faire société, vivre ensemble n’est pas si naturel. Cette qualité doit faire l’objet de toutes nos attentions.
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